Ayo, dont le prénom signifie « joie » en yoruba, est une citoyenne du monde qui a réussi à inscrire chaque pas et éclat de mémoire de son parcours dans l’ADN de ses chansons. Elle enchaîne depuis plus de dix ans les succès folk-soul avec une précieuse touche de fraîcheur. Elle n’hésite pas non plus à quitter la scène pour venir chanter au milieu de son public. Depuis ses débuts très remarqués, en 2006, avec l’album Joyful et l’entêtant hit Down on my knees, l’artiste folk soul enchaîne les succès avec une grande sincérité. En 2020 elle publie l’album Royal. On y entend aussi bien des compositions originales, pleines d’âme et de groove, que des reprises bien choisies. Depuis près de trois ans, la chanteuse vit à Tahiti, au bord de l’océan. Sur cette île de la Polynésie française entourée des vagues du Pacifique, elle a composé 13 nouveaux titres nés comme des lueurs qui ne tiennent pas compte des secondes, minutes et heures imprimées par les horloges:« Toutes ont pris forme de façon aléatoire, par un déclic soudain», explique-t-elle. Les deux concerts palois sont les premiers d’une longue tournée qui présente son tout nouvel album et répertoire dont nous aurons donc la primeur !
VENTE DES BILLETS À l’.UNITÉ À partir du jeudi 22 août 2024 : ❖ Par Internet : https://eboutique.pau-pyrenees.com/ ❖ Au guichet de l’Office de Tourisme ❖ À la borne du Foirail ❖ À la caisse du soir sur le lieu du concert – Tarif plein: CAT A, 35 € – Tarif réduit: 20 € – Tarif Jeune*** : 10 €
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L’oiseau de feu du be-bop En 1948 Charlie Parker avait choisi, pour des raisons mystérieuses, « Bird » comme surnom*. Saxophoniste alto, compositeur et chef d’orchestre, C.Parker est né à Kansas City. Ville très importante dans l’histoire du jazz, place forte du style swing dans les années 30. Tout jeune il travaille intensément son instrument. A 17 ans il débute sa carrière professionnelle dans sa ville natale. Mais… New-York l’attire. A 19 ans il s’y installe. Débuts difficiles: il travaille comme plongeur dans le restaurant où se produit le pianiste Art Tatum. Fasciné par le génie harmonique d’A.Tatum, il s’en inspirera pour faire évoluer sa future vision du jazz. Au début des années 1940 il commence à se faire remarquer comme soliste étonnant au sein de grands orchestres très populaires à New-York. Tournant décisif dans sa carrière, Parker participe au début des années 40, avec, entre autres, Dizzy Gillespie et Thelonious Monk, aux fameuses jam-sessions du « Minton’s », club mythique d’Harlem où le be-bop (le jazz moderne) va naître. Dans l’histoire du jazz l’apparition du be-bop est considérée comme une « révolution ». Les be-boppers sont des « enfants » du jazz classique, ils ne renient pas les anciens… mais ils revendiquent une façon d’être différente et un nouveau langage. Ils sont réfractaires à une certaine « routine » propre aux orchestres swing. Pour eux, l’univers du jazz classique est trop simpliste, trop commercial. Entre 1942 et 1944 une grève très suivie des studios d’enregistrements va avoir comme conséquence une « naissance » quasi secrète du be-bop. Seuls les jazzmen et auditeurs présents lors des jam-sessions du Minton’s ont su qu’il se passait quelque chose d’assez incroyable dans le petit monde du jazz… Aucun disque n’en a témoigné… La grève des studios terminée, le be-bop se diffuse rapidement via de nombreux enregistrements. Les têtes d’affiche du nouveau style (comme Dizzy Gillespie, Thelonious Monk et, bien sûr… Bird) sont programmées dans moult concerts. Aux USA et dans le monde entier. Très vite C. Parker est reconnu comme un improvisateur original et extraordinaire. Il est très sollicité. Dès 1945 il est considéré comme un des (le?) plus grand improvisateur de l’histoire du jazz. Durant sa courte carrière (une quinzaine d’années…), il a mis toute sa virtuosité instrumentale au service d’une remarquable imagination rythmique, harmonique et mélodique en proposant une nouvelle sonorité pour le saxophone. Sonorité qui se différencie des nuances veloutées de ses prédécesseurs: mate, incisive, tranchante, ultra-puissante. En concert il alternait prestations extraordinaires et… calamiteuses ! Car très vite ses addictions à l’héroïne et à l’alcool ont affecté gravement sa santé physique et psychique et ont perturbé sa carrière. Il était capable de se présenter parfois à ses concerts et à ses enregistrements dans un état désastreux… si du moins il parvenait à venir ! Mais cela ne l’a pas empêché, quand il se sentait bien, d’offrir des solos virtuoses et époustouflants… Lors d’une tournée sur la côte ouest des USA fin 1945, il avait mis le feu à sa chambre d’hôtel et avait dû effectuer un séjour de 7 mois en psychiatrie à l’hôpital de Camarillo (il écrira un superbe thème dédié à ce séjour : « Relaxin at Camarillo » !). A la sortie de l’hôpital il se remet sur pied avec un superbe nouveau quintet dans lequel joue Miles Davis à la trompette. Miles Davis vénérait Parker et a enregistré avec lui quelques chefs- d’oeuvre du be-bop. En 1948 un luxueux club de jazz new-yorkais est créé. Il lui est dédié : Le « Birdland ». Il y jouera peu car, souvent privé de sa carte professionnelle de travail pour ses addictions à l’héroïne, il n’est pas autorisé à s’y produire ! À Paris, salle Pleyel, en 1949 il a bluffé Boris Vian qui, rendant compte de la prestation de Bird écrit : « Il a l’œil vitreux comme un zombie, mais alors, ensuite, quel déluge ! On est soufflé, ahuri « . Dans les années 50 son comportement instable et autodestructeur, le pousse plusieurs fois, à nouveau, à tenter de mettre fin à ses jours. Sa santé se dégrade fortement (ulcères, cirrhose…) mais il offre quand même, malheureusement de plus en plus rarement, quelques éclairs de son génie musical… Nouveau choc, qui n’améliore pas son état : sa fille Pree meurt toute jeune en 1954. Le 9 mars 1955, totalement épuisé, Charlie Parker se rend, pour y être hébergé, à l’hôtel de grand luxe new-yorkais où vivait l’extravagante baronne anglaise Pannonica (dite « Nica ») de Koenigswarter, qui fut la mécène de nombreux musiciens de jazz moderne. C’est dans une chambre de cet hôtel que, trois jours plus tard, Parker décède en regardant une émission de télévision. Succombant, selon les constatations du médecin à des ulcères, une pneumonie et vraisemblablement aussi à une crise cardiaque. Dans l’ acte de décès le médecin aurait évalué l’âge du défunt à « environ 60 ans ». Parker en avait 35 ! En 1988 Clint Eastwood dans son film (de 2h40), « Bird », consacré à la vie de Parker, nous montre tout cela. Quelques scènes évoquant ses « polydépendances » destructrices sont, à l’image de la vie de Parker, à la limite du soutenable. * Plusieurs interprétations, fort différentes, ont été proposées par ses biographes… Après sa mort, des admirateurs ont orné les murs de New York du graffiti « Bird lives » (Bird vit). Sa contribution à l’histoire du jazz est immense, et de nombreux jazzmen se réclament de son héritage. Si Louis Armstrong a codifié, l’art de l’improvisation Charlie Parker, l’a enrichi. Selmer la prestigieuse fabrique française de saxophones a dédié un modèle haut de gamme à Parker.
Vendredi 23 Mai 2025 – 20 heures Samedi 24 Mai 2025 – 20 heures
BILLETTERIE & TARIFS* A Pau Pyrénées Tourisme – Jusqu’à l’automne 2024 au 9 rue Henri IV à Pau – Puis place Royale Du lundi au samedi de 9h à 18h et le dimanche de 9h30 à 13h
ABONNEMENT 7 CONCERTS Uniquement au guichet de l’Office de Tourisme, du vendredi 28 juin au samedi 17 août 2024 inclus: – Tarif plein : 200 € – Tarif réduit* : 115 € – Tarif Jeune* : 60 €
ABONNEMENT DÉCOUVERTE FOIRAIL Au guichet de l’Office de Tourisme, du jeudi 5 au samedi 14 septembre inclus : 4 spectacles (1 Théâtre à Pau, 1 Jazz à Pau, 1 OPPB, 1 Espaces Pluriels) + 2 places du cinéma le Méliès: 120 €
VENTE DES BILLETS À l’.UNITÉ À partir du jeudi 22 août 2024 : ❖ Par Internet : https://eboutique.pau-pyrenees.com/ ❖ Au guichet de l’Office de Tourisme ❖ À la borne du Foirail ❖ À la caisse du soir sur le lieu du concert – Tarif plein: CAT A, 35 € / CAT B au Théâtre Saint Louis ou strapontin au Foirail, 20 € – Tarif réduit: 20 € (cat. A ou B selon places disponibles) – Tarif Jeune*** : 10 € – Paradis : gratuit dans la limite des places disponibles à l’ouverture de la billetterie le soir du concert (pas de réservation possible)
SAUF CONCERT DE THOMAS DUTRONC HORS ABONNEMENT AU ZENITH Billetterie ouverte auprès du Zénith, surwww.zenith-pau.com et dans les réseaux de ventes habituels. – Tarif plein : 1re cat. 50€ / 2è cat., 38€ – Tarif réduit et jeunes : 1re cat.., 45€ / 2è cat., 25€ Les abonnés de Jazz à Pau et Théâtre à Pau bénéficient du tarif réduit pour ce concert
Tarif réduit :Sous réserve du vote des tarifs par le Conseil municipal du 24 juin 2024 Tarif reduit : demandeurs d’emploi, et bénéficiaires des minima sociaux (RSA, AS$, Al, MH, AS) Elèves de la section Jazz du Conservatoire Pau Béarn Pyrénées. Sur présentation d’une pièce d’identité et d’un justificatif. « ‘ Jeunes de moins de 26 ans et accompagnants de groupe. Paiement par le biais du Pass Culture accepté. Sur présentation d’une pièce d’identité.
Cab Calloway (1907/1994) « Mr. Hi. De. Ho. » Sorti en 1980, « Les Blues Brothers » est un film culte pour les amoureux du rhythm and blues, de la soul music, du blues et du jazz. Le disque de la bande originale de ce long métrage s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires en France! Au générique, de très grands noms : James Brown, Aretha Franklin, Ray Charles, John Lee Hooker et… Cab Calloway ! Au début des années 80 Cab Calloway a 73 ans et il n’est alors pas connu du grand public. Mais la longue séquence où il interprète son tube « Minnie the Moocher », dans une grande salle de concert emplie de jeunes gens surexcités, a marqué, durablement, pas seulement les millions de spectateurs présents dans les salles obscures mais aussi les très nombreux fans qui l’ont vu ou revu lors de multiples diffusions TV et séances de joyeux visionnages du DVD avec amis et…famille. Ce film est consensuel et trans-générationnel… Le refrain de Minnie The Moocher est « scatté » (chanté en onomatopées). La surprenante formule « Hi De Ho » (prononcée: « aïe-di-oh » !), répétée moult fois, est reprise en choeur avec enthousiasme, dans un énorme éclat de rire par le public… Aux USA, en 1931 la popularité de « Minnie The Moocher » créée et chantée par Cab Calloway était telle, que son interprète fut surnommé : « The Hi-De-Ho Man » ! La participation de Cab Calloway aux « Blues Brothers » marque le début d’une renaissance… Qui va se prolonger ensuite pendant une bonne dizaine d’années. Il chanta et dansa sur scène jusqu’à plus de 80 ans… La carrière de Calloway a connu des hauts et des bas… Dans les années 30 il est ultra populaire. C’est l’époque du jazz « classique », celle de l’ère du swing (la « swing era » comme disent les érudits, pour faire chic…). En Amérique du Nord ce jazz « facile » et dansant est alors « partout » : concerts (aussi bien en clubs que dans des salles immenses), émissions de radio, bals, opérettes de Broadway, films… Le jazz est incontestablement la « bande son » de cette période. Tout jeune Cab Calloway n’aime pas l’école… La rue est son royaume. Il joue, un peu, en dilettante, de la batterie. Sa soeur ainée Blanche Calloway, qu’il admire, est fort connue dès 1921. Elle joue dans des comédies musicales où tous les protagonistes sont afro-américains. Il la supplie de lui trouver un petit rôle… Il accepte même pour cela de suivre quelques cours de chants… Il a à peine 15 ans lorsqu’elle réussit à le faire recruter. Bingo… Fasciné par le monde du spectacle il persiste et signe. Il se « fabrique » très vite un personnage assez incroyable de chanteur et danseur excentrique. Tout jeune on le trouve dans les « batailles » de grands orchestres dans les prestigieux cabarets d’Harlem. A 21 ans il est embauché au fameux Cotton Club avec un « big band » qu’il vient juste de créer… En remplacement de Duke Ellington parti en tournée ! Il se trouve ainsi mêlé à de sombres batailles entre les gangsters propriétaires de ces clubs harlemites. Ses biographes racontent que cela ne lui déplait pas… Flambeur, joueur impénitent (dés, courses, poker), grand séducteur se posant même parfois en « protecteur » (!) de belles jeunes femmes. Pendant toutes les années 30, avec son grand orchestre, il « règne » sur Harlem. Mais pas que ! Tournées triomphales aux USA et en Europe, ventes énormes de 78 tours, vedette de courts métrages et de films hollywoodiens à succès. Il collectionne les « tubes ». La presse people de l’époque le met souvent en une… La clientèle uniquement blanche (ségrégation oblige) et riche des clubs chics d’Harlem adore s’encanailler en l’écoutant pratiquer le « jive », l’argot branché des afro-américains, plein de sous-entendus sexuels… Il fume de l’herbe et sniffe de la coke. Dans un court métrage il le montre même explicitement… Il popularise le « zoot suit ». Une tenue vestimentaire extravagante que portent tous les branchés de l’époque. Veste descendant largement en dessous des genoux, pantalon large mais resserré au niveau des chevilles, chaine à la ceinture… En France pendant l’occupation les zazous qui adoraient Calloway et le jazz imitèrent ses tenues vestimentaires. Puis… vint le déclin. Dettes de jeu, problèmes économiques pour gérer un grand orchestre, naissance du jazz moderne… Il se retrouve au creux de la vague… Il est même obligé un temps de se produire « en attraction » pendant les spectacles des basketteurs des Harlem Globe Trotters. Une comédie musicale de Gershwin le remet en scène quelques temps… Mais le temps de la gloire semble passé… Jusqu’à la sortie des « Blues Brothers » et au retour des succès mondiaux pratiquement jusqu’à la fin de sa vie…
Le concert qui s’est déroulé lors des Rencontres Pau Jazz le 27/05/2023 restera gravé dans les mémoires comme l’un des moments les plus exceptionnels de la saison. Trois musiciens talentueux, venus tout droit d’Australie et des États-Unis, ont offert une performance inoubliable. Tout d’abord, Harry Allen, au saxophone, a étonné le public par la beauté du son de son saxophone ténor. Ses improvisations étaient dotées d’harmonies complexes et originales, captivant les auditeurs par leur remarquable beauté. À la guitare, Dave Blenkhorn a brillé par sa maîtrise instrumentale et la complexité de ses accords et improvisations. Sa véritable Gibson des années 60 ajoutait une touche d’authenticité à sa prestation, transportant les spectateurs dans une époque révolue. Enfin, Nicki Parrot, à la contrebasse et au chant, s’est révélée être l’une des meilleures contrebassistes de la scène internationale du jazz. Sa voix douce et agréable contrastait avec sa manière virile de jouer les cordes de sa contrebasse, donnant à la musique un swing irrésistible. Le concert a été une véritable explosion d’énergie et de créativité. Les musiciens, en plus de leur virtuosité, ont su transmettre leur passion et leur sympathie au public. Pendant plus de deux heures, l’auditoire, venu en grand nombre, a été transporté par cette ambiance envoûtante. À la fin du concert, malgré la satisfaction générale, le public aurait volontiers prolongé l’expérience musicale, témoignant ainsi de sa profonde admiration pour ces artistes exceptionnels. Les Rencontres Pau Jazz ont connu une soirée mémorable, où la musique et la convivialité étaient à l’honneur.
Ayant accompli un parcours impressionnant, le saxophoniste Kenny Garrett brille de longue date au firmament du jazz américain. Doté d’un souffle puissant et contrasté, souvent flamboyant en live, il dirige pour ce concert un quintet aux éclats intenses.
?Kenny Garrett est un showman né. Saxophoniste aussi vigoureux que subtil, capable de s’adapter à de nombreux contextes musicaux sans jamais se départir de sa forte singularité, il a joué notamment avec Art Blakey, Freddie Hubbard, Chick Corea, Marcus Miller.
Billetterie : Les abonnements à la saison sont clos depuis le 27 septembre 2022 mais vous pouvez acheter les billets à l’unité. – Soit en vous rendant sur place à l’office de tourisme de PAU : Tél : 05 59 37 27 08 – Soit par internet à la rubrique Boutique / Billetterie du site de l’office de tourisme : de PAU : https://eboutique.pau-pyrenees.com/
Impressionnante démonstration de Manu KATCHE à la batterie le 06 janvier 2023 Place du Foirail pour JAZZ à PAU. Un public conquis par la technique et la virtuosité exceptionnelles de ce batteur. Pas de doute, il fallait y être !!!
Après une formation classique, le musicien Manu Katché est promis à la noble carrière de percussionniste au sein d’un orchestre symphonique. Probablement est-ce là l’une des causes du « son Katché » qui fait que son coup de baguette est reconnu entre mille par les mélomanes avertis. Un coup de baguette qui va le détourner du classique pour le mener au jazz puis au pop-rock.
Très vite on le retrouve, musicien de scène et de studio, aux côtés des grands Français : Goldman, Souchon, Chedid, Catherine Lara ou Michel Jonasz. Dans son 10ème album, The ScOpe, l’as des baguettes réunit les racines du groove et la modernité des machines.
?La batterie est donc au cœur de The ScOpe, un album électro charnel et céleste, frénétique, un chapitre de rupture ou plutôt de prolongement, de plaisir et de renouvellement. Pour cette soirée, Manu invite Isadora, une toute jeune chanteuse de 25 ans.
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