YILIAN CANIZARES Vendredi 31 mai 2024 à 20h Samedi 1er juin 2024 à 20h Yilian Cafîizares (violon, chant) Chi/do Tomas (basse) Inor Sotolongo (percussions) Fred Dupont ( claviers) Japa System (percussions)
L’incontournable violoniste et chanteuse Yilian Canizares revient sur le devant de la scène pour fêter ses dix ans de carrière avec un nquvel album Habana-Bahia. Ce nouvel opus est un véritable mariage musical, spirituel et culturel entre le Brésil et Cuba, sa terre natale. Son groupe de musiciens représente à lui-même l’essence de la musique de Yilian Canizares, c’est-à-dire une musique ancrée dans l’héritage de l’Afrique, dans la puissance percussive de Cuba et du Brésil, avec en même temps un regard moderne, cosmopolite, et ouvert sur le monde.
Tarif plein : 30 € Strapontin : 15 € Tarif réduit* : 15 € pour demandeurs d’emploi, personnes non imposables, bénéficiaires des minima sociaux (RSA, ASS, AI, AAH, ASI), pour les élèves du département Jazz du Conservatoire à Rayonnement Départemental de Pau. Sur présentation d’une pièce d’identité et d’un justificatif. Tarif jeune** : 8 € pour les moins de 26 ans et les accompagnants de groupe, pour les classes d’Éducation Artistique et Culturelle (EAC) hors parcours « Trajectoire ». Paiement par le biais du Pass Culture accepté. Sur présentation d’une pièce d’identité et d’un justificatif. Carte Hello Pau acceptée.
Si vous ne pouvez pas pas vous rendre au concert, cédez votre place en la proposant (à la vente ou pas) entre particuliers. Recherchez si quelqu’un empêché propose son billet
ERIK TRUFFAZ « ROLLIN’ & CLAP » Lundi 29 avril 2024 à 20h Mardi 30 avril 2024 à 20h Erik Truffaz (trompette) Marcello Giuliani (basse) Alexis Anéri/les (claviers) Matthis Pascaud (guitare) Raphaël Chassin (batterie) En partenariat avec Le Festival de films musicaux de Pau – Rock This Town
Le trompettiste franco-suisse Erik Truffaz est l’un des musiciens les plus brillants de sa génération. Référence mondiale du jazz, son style est souvent comparé à celui de Miles Davis et sa musique est portée par la fusion et la découverte sonore. Dans son 17ème album Roll, Truffaz revisite et ajoute sa touche unique à certaines des plus grandes pièces musicales de l’âge d’or du cinéma, dont Le Casse avec Jean-Paul Belmondo, La Strada réalisé par Fellini, One Silver Dollar avec Marilyn Monroe. Une tracklist pleine de mélodies émouvantes et reconnaissables qui nous ont fait rêver, rire et pleurer.
Les concerts sont programmés à 20h (voire 17h). Chacun d’eux sera précédé dès 19H15 sous la coupole, d’une performance Jazz par les élèves du conservatoire (accès libre et gratuit). Les actions culturelles autour des dates (projections, conférences), seront assonancées sur pau.fr
BILLETERIE L’ Abonnement« Saison » pour 6 spectacles est complet et terminé. Les billets ne peuvent désormais être achetés qu’à l’unité à partir du 3 octobre 2023
Billetterie et tarifs : à partir du 3 octobre Sur place auprès de Pau Pyrénées Tourisme : 9 rue Henri IV Du lundi au samedi de 9h à 18h et le dimanche de 9h30 à 13h Tél. 05 59 27 27 08
Tarif plein : 30 € Strapontin : 15 € Tarif réduit* : 15 € pour demandeurs d’emploi, personnes non imposables, bénéficiaires des minima sociaux (RSA, ASS, AI, AAH, ASI), pour les élèves du département Jazz du Conservatoire à Rayonnement Départemental de Pau. Sur présentation d’une pièce d’identité et d’un justificatif. Tarif jeune** : 8 € pour les moins de 26 ans et les accompagnants de groupe, pour les classes d’Éducation Artistique et Culturelle (EAC) hors parcours « Trajectoire ». Paiement par le biais du Pass Culture accepté. Sur présentation d’une pièce d’identité et d’un justificatif. Carte Hello Pau acceptée.
Vidéo-Conférence par Pierre-Henri Ardonceau Membre de l’Académie du Jazz et de la rédaction de Jazz Magazine
Samedi 27 mai 2023 à 11 heures Auditorium de la Médiathèque André Labarrère de Pau
Vidéo-Conférence
Proposée par le service culturel de la Ville de Pau, en partenariat avec la Médiathèque André Labarrère à l’occasion du concert du vendredi 26 mai de You Sun Nah au Foirail dans le cadre de la Saison Internationale de Jazz à Pau.
TROIS (TRES) GRANDES DAMES DU JAZZ VOCAL Bessie Smith, Billie Holiday, Ella Fitzgerald
par Pierre-Henri Ardonceau Membre de l’Académie du Jazz et de la rédaction de Jazz Magazine
Youn Sun Nah est née et a grandi à Séoul dans une famille passionnée par la voix. Son père était chef de chœur et sa mère actrice de comédies musicales.
La chanteuse sud-coréenne fait définitivement partie du club très fermé des grandes voix du jazz. Inclassable, Youn Sun Nah prouve une nouvelle fois sa capacité à se renouveler, n’hésitant pas à réaliser de véritables grands écarts vocaux. De Sting à ces propres compositions, elle étire les titres, change ses interprétations et établit un lien particulier avec le public.
?Improvisatrice hors pair, elle sait nous convier dans son univers éclectique et sa puissance vocale hypnotise aux quatre coins du monde. Youn Sun Nah est devenue une star incontestée du jazz international, elle se produit sur la scène du Foirail à Pau avec le répertoire de son dernier album intitulé Waking World.
Billetterie : Les abonnements à la saison sont clos depuis le 27 septembre 2022 mais vous pouvez acheter les billets à l’unité. – Soit en vous rendant sur place à l’office de tourisme de PAU : Tél : 05 59 37 27 08 – Soit par internet à la rubrique Boutique / Billetterie du site de l’office de tourisme : de PAU : https://eboutique.pau-pyrenees.com/
La Billetterie affiche complet. Si vous ne pouvez pas pas vous rendre au concert, cédez votre place en la proposant (à la vente ou pas) entre particuliers. Recherchez si quelqu’un empêché propose son billet
Guillaume de Chassy Pianiste et compositeur de formation classique, improvisateur autodidacte, Guillaume de Chassy a délaissé une carrière d’ingénieur pour se consacrer à la musique. Il est aujourd’hui considéré comme l’un des musiciens majeurs de la scène Jazz française. Sobriété et ferveur dans l’expression, profondeur du son et révérence à la mélodie sont ses points cardinaux, les clés d’un univers poétique et singulier. Guillaume de Chassy a joué ou enregistré de part et d’autre de l’Atlantique avec des personnalités du Jazz américain et européen comme Paul Motian, Andy Sheppard, Mark Murphy, Enrico Rava, Paolo Fresu, André Minvielle, Christophe Marguet, David Linx, Emile Parisien, Stéphane Kerecki etc. Ses affinités profondes avec la musique classique l’ont porté à collaborer avec la pianiste Brigitte Engerer, avec les chanteurs lyriques Natalie Dessay, Laurent Naouri et Karen Vourc’h et avec le chef de choeur Joël Suhubiette. Régulièrement saluée par la presse, sa discographie est le reflet d’une personnalité qui échappe aux classifications et d’une créativité sans cesse en éveil. Y figurent notamment son 1er concerto pour piano et orchestre, Traversées et sa cantate Lunes pour choeur mixte piano et percussions, ainsi que des incursions chez les compositeurs classiques comme Eisler, Prokofiev et Mompou. Curieux de toute forme artistique, Guillaume de Chassy travaille dans le monde entier sur des projets alliant texte, images et musique, notamment avec les comédiennes Kristin Scott Thomas (avec laquelle il a enregistré l’album Shakespeare Songs), Vanessa Redgrave et Katja Riemann. Titulaire du CA de jazz, Guillaume de Chassy dirige le département jazz du Conservatoire à Rayonnement Régional de Tours. Video : improvisation sur Schubert dans La Boîte à Musique de JF Zygel (France-2)
« Hors de toute mode, les initiatives de Guillaume de Chassy impressionnent »
Francis Marmande / Le Monde « Guillaume de Chassy est un gentleman du piano qui s’est constitué une vaste culture et pratique son art avec goût et sensibilité. En trio, il est un maître de distinction (…).Cet homme a du style. » Michel Contat / Télérama « D’autres jazzmen bien avant lui ont aussi eu un rapport particulier avec la musique classique, mais lui est à part. Son jeu est une incroyable mosaïque qu’une formation classique n’a jamais bridée . Son piano est constamment en quête de liberté dans l’enfermement et vice versa. Chassy promène SA musique dans toutes LES musiques. Pour mener à bien ce périple, il malaxe un maximum de musiques dans un minimum de notes. Là, sa technique, pourtant impressionnante, s’éclipse devant la musique, omniprésente. » Marc Zisman / Télérama Dès les premières notes du choral d’ouverture, on sent qu’il va se passer quelque chose. Une espèce de transe sereine, c’est à dire le contraire d’une transe ; un état de grâce (…) De Chassy sait faire monter l’intensité en évitant le trop plein de kitsch, sans jamais surjouer l’émotion avec une mesure toujours juste de la dynamique, une économie de moyens toujours adéquate. Usant volontiers du rubato et du volte-face, improvisant avec des visions de compositeur, il préserve cependant une générosité et une spontanéité du geste qui semblent le fruit d’un long travail de préméditation à la maison et d’un véritable « lâcher prise » en studio. Pour se réconcilier avec le piano solo post-jarrettien » Franck Bergerot / Jazzmagazine Jazzman puisant aux sources du Classique – à moins que ce ne soit le contraire- Guillaumede Chassy confirme de disque en disque sa profonde originalité. Improvisateur hors pair, il a trouvé sa propre expression musicale. »
Christophe Marguet Né en 1965, il étudie avec Jacques Bonnardel, Michel Sardaby, Keith Copeland, vit de la musique dès l’âge de 20 ans et suit des stages avec Kenny Barron, Rufus Reid, Victor Lewis, David Liebman, Richie Beirach, Ron Mc Lure, Billy Hart et John Abercrombie. Il a joué avec Barney Wilen, Alain Jean-Marie, Vincent Herring, Bud Shank, René Urtreger, Turk Mauro, Buddy de Franco, Ted Nash, Ted Curson, Don Sickler, Louis Smith, Wild « Bill » Davis Jr, Stephane Grappelli, Didier Levallet, Enrico Rava, François Corneloup, Richard Galliano, François Jeanneau, Paolo Fresu, Glenn Ferris, Marc Ducret, Joachim Kühn, Gian Luigi Trovesi, Louis Sclavis, Claude Barthélémy, Yves Robert, Christof Lauer, Michel Portal, Dominique Pifarély, Eric Watson, Ricardo Del Fra, Mat Manieri, Herb Robertson, Boyan Z, Barry Guy, Paul Rogers, Kenny Wheeler, François Couturier, Larry Schneider, Joëlle Léandre, Anouar Brahem, Evan Parker, Roswell Rudd, Heinz Sauer, Henri Texier, Jean-Charles Richard, John Tchicai, Ndr Big band (hambourg), John Scofield, Joe Lovano, Steve Swallow, Chris Cheek, Cuong Vu… En 1993, il fonde son propre trio avec Sébastien Texier et Olivier Sens avec lequel il remporte en 1995, le premier prix d’orchestre au concours de la Défense, ainsi que le premier prix de composition. Il reçoit le « Django d’Or » (Révélation Espoir Français) et est nommé « Talents Jazz 1998 » (Adami) pour son premier disque en trio. Il reçoit le Choc de l’année chez Jazzgazine/Jazzman en 2008 pour le Cd “Itrane” avec son Quartet, en 2012 pour le Cd “Pulsion” avec son Quintet et en 2013 pour le trio “Looking for Parker”. Il s’est produit dans la plupart des grands festivals de Jazz en France et en Europe et a joué dans de nombreux pays étrangers (Chine, Japon, Taiwan, Brésil, Colombie, Pérou, Equateur, Cuba, Afrique du sud, Madagascar, Seychelles, Namibie, Mozambique, Zimbabwe, Ouganda, Rwanda, Kenya, Cameroun, Egypte, Syrie, Liban, Libye, Maroc, Ukraine, Russie, Norvège, île Maurice….). Il a participé à l’enregistrement de musique de films pour Bertrand TAVERNIER : « ÇA COMMENCE AUJOURD’HUI » musique de Louis SCLAVIS et « HOLY LOLA » musique d’Henri TEXIER.
Actuellement, il travaille avec son propre groupe. “Happy Hours” 4tet Yoann Loustalot, Julien Touéry et Hélène Labarrière Comme co-leader avec : “We Celebrate Freedom Fighters!” Sébastien Texier, Manu Codjia, François Thuillier “Pronto!” Daniel Erdmann, Bruno Angelini, Hélène Labarrière “Looking for Parker” Géraldine Laurent, Manu Codjia “l’Intranquillité” de Fernando Pessoa, lecture avec le comédien Frédéric Pierrot Collabore de façon régulière avec Claude Tchamitchian, Yves Rousseau, L’Oeil de L’Éléphant (Le Querrec, Portal, Sclavis, Texier, Marguet), Jean-Marc Foltz, Romano Pratesi, Guéorgui Kornasov et Mauro Gargano.
Extraits de presse : «Il ne fait pas qu’amener de remarquables compositions, il est constamment en action, insufflant une énergie à la fois souple et vigoureuse et une grande sensibilité de jeu avec une batterie si mélodique que l’on croit l’entendre chanter !»Lionel Eskenazi – Jazz Magazine «Un batteur d’exception, remarquable compositeur et initiateur des plus inventives improvisations.»Christian Larrède – Jazz News «Il continue de puiser dans cette histoire du jazz ce qui caractérise aujourd’hui sa musique. L’élégance du ternaire, le sens de l’espace et de la mise en forme des grands esthètes, le lyrisme, la capacité d’abandon, mais aussi ce qui constitue pour lui une préoccupation majeure, le son d’orchestre.»Olivier Acosta – Citizen Jazz
Thomas Savy Après des études de clarinette classique au CNR de Paris où il obtient un Premier Prix en 1993,Thomas Savy intègre le département « Jazz et musiques improvisées » du CNSM de Paris en 1994, et travaille sous la direction de François Jeanneau, Hervé Sellin, Jean-François Jenny-Clark, Daniel Humair et François Théberge avant d’obtenir un premier prix d’improvisation en 1997. Parallèlement à ses études, il fréquente assidûment les clubs en petite formation, et devient rapidement un habitué des big-bands parisiens. Il participe également à l’élaboration de projets dans le monde de la musique contemporaine (INA- GRM, Radio-France) et de l’électro (Zend Avesta) en collaboration avec Arnaud Rebotini (composition, direction, programmation) et Vincent Artaud (composition, orchestration, basse électrique, contrebasse, claviers). Poly-instrumentiste (saxes, clarinettes), bassiste électrique à l’occasion, c’est généralement au poste de saxophone ténor qu’il figure au sein des grandes formations. Mais c’est à la clarinette basse, instrument singulier auquel il consacre exclusivement ses activités de leader et de compositeur, que s’exprime le mieux sa personnalité, nourrie de la tradition du saxophone et du big-band ainsi que de la musique de John Coltrane ou de Wayne Shorter qui l’ont fasciné très jeune. Au-delà de ce profond attachement à l’histoire du Jazz et à sa pratique sous ses formes traditionnelles, sa « double culture » d’interprète rompu à la musique contemporaine et d’improvisateur fait de Thomas Savy un musicien à l’aise dans les contextes les plus modernes. Thomas Savy participe ou a participé aux activités, sur scène et en studio, du Nonet et du big band de Christophe Dal Sasso, du Nine Spirit (Raphaël Imbert), du sextet de Pierrick Pedron, du groupe « Artaud », du Vintage Orchestra, du Medium Ensemble de Pierre de Bethmann, du Slow Band (François Théberge), du big band de François Laudet, de l’Institute of Advanced Harmony (Steve Potts), du groupe de David El Malek « Music From the source », de l’octet de Fabien Mary, du trio « Silences » et du quartet « Bridges » de Guillaume de Chassy, et du quintet d’Amy Gamlen. Il a également participé aux enregistrements de Christian Escoudé, Patrick Artero, Rick Margitza, Julien Loureau, Laurent Naouri, s’imposant comme une véritable référence sur son instrument, alliant la rigueur d’un concertiste classique à des qualités d’improvisateur de jazz et de musique contemporaine. «Archipel», premier album de Thomas Savy en tant que leader, est sorti sur le label Nocturne en mai 2006 et a été accueuilli très chaleureusement par la critique (CHOC Jazzman, Disque d’émoi Jazz Magazine, fff Télérama, le Monde), et le public. David Sanborn n’a pas hésité, suite à une série de concerts parisiens, à l’inviter à se joindre à son groupe augmenté de la légendaire section de cuivres du groupe « Tower of Power » pour se produire sur la grande scène du Montreux Jazz Festival en juillet 2008. C’est en juin 2009 que Thomas Savy est allé enregistrer « French Suite » (ffff Télérama, CHOC Jazzmag-Jazzman, So Jazz, nommé aux Victoires du Jazz 2010 dans la catégorie «Révélations» et à l’Académie du Jazz 2010, son deuxième album, à New York, au studio mythique Systems Two (Brooklyn), et en compagnie de Scott Colley à la contrebasse et de Bill Stewart à la batterie. Avec son trio, Thomas Savy s’est régulièrement produit sur la scène des plus grands festivals français (Nancy Jazz Pulsations, les Arènes du Jazz – Paris, Jazz sous les pommiers – Coutances, Jazz sur son 31, Rhino Jazz) ainsi qu’à l’étranger, et notamment en Allemagne et en Autriche. Le troisième album de Thomas Savy, Archipel vol. 2 « Bleu », est paru en février 2014, et a également été reçu plusieurs distinctions et chroniques: « ffff » Télérama, Choc Jazzmag- Jazzman, sélection Jazznews, le Monde. Il a été nommé aux Victoires du Jazz dans la catégorie «Album de l’année». Toujours très actif en studio, il effectue un retour sur la scène classique en enregistrant Schubert aux côtés de Natalie Dessay et Philippe Cassard, avec qui il se produit désormais régulièrement en concert.
Pianiste prodige aux influences diverses, ce citoyen du monde, fier de ses racines arméniennes, pioche dans le jazz, le rock, la musique classique ou folklorique pour édifier un répertoire d’une rare personnalité et sensibilité.
En 2006, tout juste majeur, Tigran Hamasyan remportait le 1er prix de piano du Thelonious Monk Institute of Jazz.
?En quelques années, il est devenu l’une des personnalités les plus en vue du jazz actuel, et sans conteste l’un des pianistes les plus créatifs de sa génération. Une musique vibrante, physique, volcanique, où parfois la voix de Tigran s’élève, délicate et légère, dans un chant sans paroles et harmonique.
Billetterie : Les abonnements à la saison sont clos depuis le 27 septembre 2022 mais vous pouvez acheter les billets à l’unité. – Soit en vous rendant sur place à l’office de tourisme de PAU : Tél : 05 59 37 27 08 – Soit par internet à la rubrique Boutique / Billetterie du site de l’office de tourisme : de PAU : https://eboutique.pau-pyrenees.com/
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Compositrice, chanteuse et contrebassiste, Nicki Parrott apporte une touche de charme à des arrangements de jazz inventifs. Son jeu de contrebasse est aussi sublime que sa voix. Elle se produira pour ce concert exceptionnel avec le guitariste Dave Blenkhorn et le saxophoniste Harry Allen.
NICKI PARROTT biographie
Née à Newcastle, en Australie, Nicki Parrott a commencé sa formation musicale aux quatre premières années à jouer du piano et de la flûte, de passer à la basse à quinze ans. Après l’obtention du diplôme, elle déménage à Sydney pour étudier le jazz au Conservatoire de Nouvelle-Galles du Sud, où elle a commencé à jouer avec des musiciens australiens comme Mike Nock, Dale Barlow, Paul Grabowsky, Bernie McGann et le groupe Ten Part Invention. elle se produit en Australie avec des musiciens russes Daniel Kramer et Alexander Fischer et le trompettiste américain Bobby Shew et Chuck Findley. elle a poursuivi ses études avec différents contrebassistes tels que Ray Brown et John Clayton. elle gagne une bourse d’études aux camps de musique Pan Pacific à seize ans et la première place en 1992 en Compétition chanson annuelle de la Société Jazz Action pour sa chanson « Come and Get It », qui apparaît comme la première chanson de son premier album et soeur Lisa « awabakal Suite ». elle est également nommée par le Australian Young Achievers Award du Conseil des arts de l’Australie, qui garantit les fonds nécessaires pour étudier à New York avec Rufus Reid. Nicki a déménagé à New York en mai 1994. En Juin 2000, Nicki commence à se produire au Iridium Jazz Club avec le guitariste Les Paul. En tant que membre du Trio Les Paul, elle travaille en étroite collaboration avec les guitaristes de talent tels que Paul McCartney, Slash, Steve Miller et Tommy Emmanuel, en plus d’un grand nombre d’autres musiciens. En 2010, son album Black Coffee reçoit un disque d’or par Swing Journal de. En 2012, Nicki ouvre le festival de Jazz Fujitsu Concorde après la sortie de son huitième CD avec Vénus « Sakura Sakura ». Nicki a participé à des festivals dans le monde entier, y compris: Mary Lou Williams Jazz Festival, Newport Jazz Festival, Jazz en Juillet au 92nd Street Y, Litchfield Jazz Festival, Festival de jazz de Detroit, Lionel Hampton Jazz Festival, Newport Beach Party Jazz, Jazz Ascona Berne Jazz festival en Suisse et bien d’autres. Elle a également effectué plusieurs fois sur Broadway et à la télévision.
Discographie album studio 2004 – Suite awabakal 2007 – moon river 2007 – jungle de béton (Ron Jackson) 2007 – Les gens vont dire que nous sommes amoureux 2008 – Emmène-moi à la lune 2009 – Faites-le à nouveau 2010 – café noir 2010 – Tous mes amis sont ici 2011 – Ne peut pas prendre mes yeux hors de vous 2011 – Comme un amant 2012 – Winter wonderland 2012 – Merci les 2012 – Nicki Parrott ses pirates de jazz 2012 – Sakura sakura 2012 – été 2012 – Les feuilles d’automne 2013 – Il est une bonne journée 2013 – Le regard de l’amour 2013 – La dernière fois que je voyais Paris 2015 – Deux oiseaux chanteurs d’une plume 2015 – hommage Doris Day 2015 – Angel eyes 2015 – Strictly Confidential 2015 – voyage sentimental 2016 – Yesterday Once More – La chanson Carpenters livre 2016 – De Joplin à Jobim 2017 – Blossom Cher 2017 – inoubliable albums live 2012 – Vivre au coin de Jazz collection Albums 2012 – Fever – Le meilleur de Nicki Parrott 2014 – Le meilleur d’un volume vénus
Dave Blenkhorn
Etabli en France depuis une quinzaine d’années, l’Australien Dave Blenkhorn (1972) est aujourd’hui bien installé dans le paysage jazz. Accompagnateur solide (il a partagé la scène avec Jon Faddis, Lee Konitz, Scott Hamilton, Ken Peplowski, Leroy Jones, Evan Christopher, Cécile McLorin Salvant…), on le retrouve régulièrement aux côtés de Michel Pastre (ts), Jérôme Etcheberry (tp), Pablo Campos (p, voc), mais aussi Harry Allen, de même qu’avec ses compatriotes, Nicki Parrott (b, voc) et Hetty Kate (voc). Dernier d’une fratrie de neuf enfants, David Blenkhorn a grandi dans une ferme près de Tamworth (à 400km au nord de Sydney) et s’est initié à la musique à travers les disques de ses frères aînés: jazz, country, rock & roll et blues qui constituent le fondement de son jeu de guitare. C’est Django qui lui donne envie de se mettre à l’instrument, assez tard, à 21 ans. Il découvre à la suite le jazz new orleans et le répertoire des standards, avant de s’intéresser à Charlie Christian, Wes Montgomery, Barney Kessel et George Benson, alors qu’il a déjà commencé à jouer professionnellement depuis le milieu des années 1990. En 2001, il effectue un premier séjour en Europe pour rejoindre son mentor, Tom Baker (ts, 1952-2002), programmé au festival d’Ascona (Suisse). L’expérience le marque profondément, et Dave Blenkhorn devient un habitué du festival, multipliant les rencontres. Après quatre ans d’allers-retours entre les deux continents, il se fixe à Londres puis en Gironde où il réside depuis. Peu pressé de se mettre en avant, il a attendu février 2019 pour enregistrer un premier album sous son seul nom. La session a eu lieu à New Orleans, LA (hormis des parties vocales ajoutées ultérieurement) à l’invitation du pianiste David Torkanowsky qui a notamment rendu possible la présence du grand Herlin Riley. De ses premières amours jazz à la fréquentation d’Ascona, Dave Blenkhorn puise son inspiration dans la sphère musicale de Crescent City, où il s’est rendu plusieurs fois, et c’est donc naturellement qu’elle se retrouve au centre de ce disque très personnel, Mother Earth (du nom d’un thème de Memphis Slim), avec une forte prédominance blues, assez différent de l’univers plus bop de la section rythmique. Le chant est du même coup plus présent, mais c’est à la guitare qu’il impressionne, partageant avec aisance le langage de ses partenaires, dès le premier titre, le très swing et très blues «Junco Partner», un des meilleurs avec «Mother Earth», «When My Dreamboat Comes Home» et «Just a Lucky So and So». Des morceaux portés par une même dynamique et admirablement servis par le bluesissime David Torkanowsky et un Herlin Riley au drive d’enfer. Les ballades sont aussi bien amenées, comme l’incontournable «Do You Know What It Means to Miss New Orleans» qui vaut avant tout pour le beau chorus du guitariste.
HARRY ALLEN
En 2020, Harry Allen a été intronisé au Jazz Monsters Hall of Fame de l’Université SOKA d’Amérique et a été l’un des trois finalistes du Prix du Jazz Classique de l’Académie du Jazz de France pour son CD, « Under a Blanket of Blue », avec le guitariste Dave. Blenkhorn. Non seulement ce CD a été enregistré à distance pendant la pandémie, mais aussi mixé et masterisé par Harry.
Harry Allen a enregistré plus de 70 CD en tant que leader et bien d’autres en tant que sideman. Trois des CD de Harry ont remporté des Gold Disc Awards du magazine japonais Swing Journal, et son CD Tenors Everyone? a remporté à la fois le Gold Disc Award et le New Star Award. Ses enregistrements ont fait partie du top 10 des nouvelles sorties préférées dans le sondage des lecteurs du Swing Journal Magazine et le sondage des critiques du Jazz Journal International pour 1997, et Eu Nao Quero Dancar (I Won’t Dance), le troisième lauréat du Gold Disc Award, a été élu deuxième. pour l’album de l’année 1998 par le sondage des lecteurs de Swing Journal Magazine. Le Harry Allen – Joe Cohn Quartet a remporté le New York Nightlife Award for Outstanding Jazz Combo Performance of 2006 et a été nominé pour Best Jazz Combo par la Jazz Journalists Association la même année. Harry a également remporté le New York Nightlife Award 2010 du meilleur solo de jazz. Harry s’est produit dans des festivals et des clubs de jazz du monde entier, faisant fréquemment des tournées aux États-Unis, en Europe et en Asie. Il a joué avec Rosemary Clooney, Jay Geils, Ray Brown, Hank Jones, Frank Wess, Flip Phillips, Scott Hamilton, Harry ‘Sweets’ Edison, Kenny Burrell, Herb Ellis, John Pizzarelli, Bucky Pizzarelli, Gus Johnson, Jeff Hamilton, Terry Gibbs, Warren Vache, et a enregistré avec Tony Bennett, Johnny Mandel, Ray Brown, Tommy Flanagan, James Taylor, Sheryl Crow, Kenny Barron, Dave McKenna, Dori Caymmi, Larry Goldings, George Mraz, Jake Hanna et Al Foster, parmi lesquels autres. Harry est présenté sur de nombreux enregistrements de John Pizzarelli, y compris la bande originale et un camée à l’écran dans le long métrage The Out of Towners avec Steve Martin et Goldie Hawn. Il a également réalisé une série de publicités pour ESPN mettant en vedette Robert Goulet. Harry est né à Washington D.C. en 1966 et a grandi à Los Angeles, CA et Burrillville, RI. Il a obtenu un baccalauréat ès arts en musique en 1988 de l’Université Rutgers dans le New Jersey et réside actuellement à North Bergen, New Jersey.
Nous vous proposons ce samedi de sortir un peu des sentiers battus que représentent les standards du jazz pour vous vous faire écouter la musique d’une famille de GRANDS musiciens, la musique de Jean Philippe VIRET et de ses 2 enfants Adèle et Oscar dans une configuration de trio peu habituelle puisque Jean Philippe sera à la contrebasse, Adèle au violoncelle et Oscar à la trompette. Musique totalement composée par chacun des 3 musiciens.
« Depuis leur plus jeune âge, j’ai toujours joué de la musique avec les enfants, notamment au piano, au même titre que n’importe quel autre jeu. Par la suite, quand ils ont eu choisi leur instrument respectif, nous avons continué a jouer en gardant le même état d’esprit, et de fil en aiguille, à l’aune des progrès de chacun, le son d’un trio original a pris forme. Dans mon parcours personnel, j’ai toujours accordé beaucoup d’importance à la composition,comme un vecteur supplémentaire pour dessiner l’identité du musicien improvisateur. J’ai encouragé Adèle et Oscar à faire de même et ce sont donc des pièces de chacun d’entre nous qui serviront de base à notre inspiration » Jean Philippe VIRET
On ne présente plus Jean Philippe VIRET bien connu pour avoir été le contrebassiste de Stephane GRAPELLI, joué avec Didier LOCKWOOD, Richard GALLIANO, Daniel HUMAIR, Lee KONITZ et j’en passe. et aussi avoir remporté 2 fois (2011 et 2020) le prix « Meilleur artiste de l’année » aux Victoires du Jazz, en trio avec notamment Edourd FERLET au piano.
Vous trouverez ci dessous une biographie complète de la famille VIRET, Jean Philippe, Adèle et Oscar.
JEAN PHILIPPE VIRET Jean-Philippe Viret – Contrebassiste / Compositeur Né à Saint-Quentin en 1959, Jean-Philippe Viret attendra d’avoir 18 ans pour étudier la musique. Première rencontre déterminante, Jean-Paul Maçé, remarquable professeur de contrebasse au conservatoire de Bordeaux, l’encourage aux différentes pratiques de la musique. Dès ses débuts, il s’intègre dans différentes formations de la région bordelaise et plus particulièrement le trio du pianiste Emmanuel Bex, avec lequel il continue de jouer régulièrement. Fin 1979, il « monte » à Paris et poursuit ses études avec Jacques Cazauran au conservatoire de Versailles. Après un deuxième prix obtenu en 1982, il délaissera la pratique instrumentale classique, pour se consacrer aux études d’écriture : Harmonie et contrepoint avec Julien Falk, arrangement et orchestration avec Ivan Jullien. Décembre 1981 voit la naissance de l’Orchestre de Contrebasses, ensemble atypique pour lequel il composera de nombreuses pièces et enregistrera 7 albums. Les années 80 seront les années des différents groupes avec de nombreux musiciens de sa génération tels Marc Ducret, Simon Goubert, Andy Emler … .mais également le plaisir de jouer avec les « anciens » , René Urtreger, Georges Arvanitas, Michel Graillier, Alain Jean-Marie, Lee Konitz, Kenny Wheeler, Walter Bishop, Daniel Humair, François Jeanneau, Benny Wallace, Dave Liebman, Didier Lockwood, Richard Galliano, Bill Carrother… En novembre 1989, Stéphane Grappelli l’invite dans son trio. C’est le début d’une longue et passionnante collaboration qui l’emmènera aux quatre coins de la planète. C’est aussi une formidable expérience de sideman installé aux premières loges ! De là naîtra le désir, en profitant de cet acquis, de présenter à son tour une musique qui lui soit propre. 1999 – Premier concert du trio Viret ( Edouard Ferlet au piano , Antoine Banville puis Fabrice Moreau à la Batterie) avec lequel il enregistrera dix albums et un DVD, qui recevront de nombreuses distinctions (ffff, Choc, Must …). Déjà nommé en 2003 , le trio remporte deux fois le prix « Artiste ou formation instrumentale de l’année » aux Victoires du jazz 2011 et 2020. Est nommé chevalier des arts et des lettres en 2008. 2011- Fonde le Quatuor à cordes « Supplément d’âme » (Sébastien Surel /vl, David Gaillard /alto, Eric-Maria Couturier /cello) avec lequel il enregistre 2 albums : « Supplément d’âme » (2012) « Les idées heureuses » 2017. 2012 – Création du trio « 60 % de matière grave » avec François Thuillier (Tuba) et Jean-Charles Richard (sax baryton).
2021 – Sortie de l’album Fin’Amor en duo avec Atsushi Sakai (Viole de Gambe)
Compose, enregistre et joue la musique du spectacle « Le nécessaire déséquilibre des choses » ( Les anges au plafond / Quatuor Viret )
2022 – Sortie du dixième album du Trio Viret « In Vivo » Joue également dans de nombreuses formations, notamment : African jazz roots quartet – Mathias Lévy Trio & octet – TriumViret – Les primitifs du futur – Quatuor les oscillantes.
Enseigne au conservatoire de Montreuil, au Centre des musiques Didier Lockwood et à la New American school of Music. Est nommé directeur pédagogique du stage de Jazz in Marciac depuis 2017 et donne régulièrement des Master classes lors de ses déplacements ( Tokyo, Paris, NewYork, Los Angeles )
Discographie sélective :
« In Vivo » Jean-Philippe Viret trio (Mélisse-Outhere) « Fin’Amor » Duo Jean-Philippe Viret / Atsushi Sakai ( Cc prod – Léonce prod) « Le nécessaire déséquilibre des choses » Quatuor Viret (Les anges au plafond) « Ivresse» Jean-Philippe Viret trio (Mélisse-Outhere) « Uni vers» Mathias Levy trio (Harmonia-mundi) « Les idées heureuses » Jean-Philippe Viret Quatuor Supplément d’âme (MélisseOuthere) « D’une aube à l’autre » Rémi Gaudillat/J-P Viret duo (les improfreeSateurs-IMR) « Secret Beauty » Emmanuel Borghi trio (Assai records-Socadisc) « Revisiting Grappelli » Mathias Levy trio (Jazz family) « Au loin » African Jazz roots ( Les forces en présence) « L’ineffable » Jean-Philippe Viret trio (Mélisse-Harmonia-mundi) « Supplément d’âme » Jean-Philippe Viret Quatuor Supplément d’âme (MélisseIntégrale) « Pour » Jean-Philippe Viret trio (Mélisse-Intégrale) « Le temps qu’il faut » Jean-Philippe Viret trio (Mélisse-Abeille) « l’indicible » Jean-philippe Viret trio (Minium-discograph) « Considérations » Jean-philippe Viret trio (Sketch-harmonia mundi) « Etant donnés » Jean-philippe Viret trio (Sketch-harmonia mundi) « Autrement dit » Jean-philippe Viret trio (Atelier Sawano) « Live at the Duc des Lombards » DVD Jean-Philippe Viret trio ( Atelier Sawano) « Live in Marciac » DVD Richard Galliano trio « Flench wok » J-Ph Muvien, Daniel Humair, François Jeanneau, J-P Viret 4tet « Play day » Bill Carrothers septet « Waltz club »Didier Lockwood, Marcel Azzola, Martin Taylor « For Stéphane »Didier lockwood « Tribal musette »Les primitifs du futur « Sœurs de sang » Jean-Marie Machado trio « Colours » Gérard Lesne, Bruno Angelini, Ramon Lopez, J-P Viret 4tet « Wish » Manabu Ohishi trio (Atelier Sawano) « Gift » Manabu Ohishi trio (Atelier Sawano) « Eternal » Manabu Ohishi trio (Atelier Sawano) « Jazz(z) » Emmanuel Bex trio (naive) « Désormais » Simon Goubert quartet (sevens record) « Grande et petite » Océan / Isabelle Olivier (nocturne) « streams » Océan / Isabelle Olivier (RCH) « live in tokyo » Stéphane Grappelli trio (Denon) « live at Warsaw » Stéphane Grappelli trio, guest Mac coy Tyner (jazzmen) « world musette » Les primitifs du futur (Sketch-harmonia mundi) « hommage à Edith Piaf» Marcel Azzola (barclay polygram) « hong-kong express » Stéphane Kochoyan, Louis Moutin, Jean-Philippe Viret « corsaire » Pierrick Hardy trio (musica guild-mélodie) « are you sexperienced » L’Orchestre de contrebasses (musica guild- Abeille) « danses occidentales » L’Orchestre de contrebasses (musica guild- Abeille) « les cargos » L’Orchestre de contrebasses (musica guild- Abeille) « bass bass bass bass bass & bass » L’Orchestre de contrebasses (M-guild-Abeille) « jeux dangereux » L’Orchestre de contrebasses (musica guild- Abeille) « transes formations » L’Orchestre de contrebasses (musica guild- Abeille) « musique de l’homme » L’Orchestre de contrebasses (musica guild- Abeille)
Mène également une carrière de compositeur et signe la musique de plusieurs films :
Musique de films :
« le rêve usurpé » Luc Decaster (Iskra) 1994 « Pierre Daura » Agnes de Sacy (Iskra) 1997 « Jean Cayrol , Lazare parmi nous » Jean-Luc Alpigiano (Iskra) 2000 « Louise, son père, ses mères son frère et ses sœurs » Stéphane Mercurio et Catherine Sinet (Iskra) 2005 « l’histoire du salariat » Anne Kunvari (Iskra).2006 « Retour en normandie » Nicolas Philibert (les films d’ici).2007 « l’histoire du patronat » Anne Kunvari (Iskra).2009 « Renoir, au delà de l’impressionnisme » Cathy Lévy (les films du tambour de soie) 2009 « Degas et le nu » Sandra Paugam ( les films du tambour de soie ) 2012 « Le moment et la manière» Anne Kunvari (Iskra).2014
Musique de scène :
« Le nécessaire déséquilibre des choses » (Les anges au plafond) 2021 « Transes formations » (Philippe Blanchard) 1998
ADELE VIRET Adèle Viret est une violoncelliste et improvisatrice née en 1999. Elle suit un parcours éclectique faisant varier la place du violoncelle au sein de multiples esthétiques musicales. Adèle étudie dès son plus jeune âge le violoncelle classique au sein du conservatoire de Montreuil et se perfectionne dans les CRR de Rueil-Malmaison et Saint-Maur-des-Fossés. Elle bénéficie de l’enseignement d’Hélène Silici, Nadine Pierre et Mathieu Lejeune. Elle est aujourd’hui en dernière année de bachelor au Conservatoire Royal de Bruxelles dans la classe de Didier Poskin. Elle s’affirme parallèlement dans le monde professionnel au sein de projets de musiques improvisées, jazz, musiques du monde et côtoie la scène aux côtés de personnalités telles que Magic Malik, Fabrizio Cassol, B.C. Manjunath, Robin Eubanks et Amir Elsaffar. Bercée depuis toute petite par la musique de son papa contrebassiste de jazz, elle développe très jeune un sens de l’improvisation et de la composition. Sa curiosité la pousse à rejoindre et initier des projets mêlant les esthétiques et les disciplines (danse, littérature, théâtre). En 2019 elle crée n’Être, un duo violoncelle et danse dont la musique et la chorégraphie sont composées conjointement par les deux artistes. La même année elle rejoint le réseau Medinea (Orchestre des Jeunes de la Méditerranée) qui rassemble des jeunes artistes du bassin méditerranéen pour la création d’un répertoire original. Profondément marquée par l’expérience de création interculturelle, elle crée son propre collectif Mosaïc en compagnie de musiciens bulgares, français, portugais et tunisiens dont les premiers concerts ont lieu en Tunisie en septembre 2022. En parallèle, Adèle participe à l’Orchestre National de Jazz des Jeunes saison 2021-2022 et rejoint les groupes Abhra et Afriquatuors, dont les albums respectifs paraissent à l’automne 2022. Elle joue également avec le groupe belge Aka Moon à l’occasion d’un concert mémorable célébrant leurs 30 ans de carrière et elle apparaît sur leur tout nouvel album « Quality of Joy ». 2023 marquera le début de ses projets les plus personnels avec les premiers concerts de son groupe Adèle Viret 4tet (Oscar Viret – trompette, Wajdi Riahi piano, Pierre Hurty – batterie), la reprise du TriumViret, trio familial avec Oscar Viret et Jean-Philippe Viret (contrebasse) ainsi que la création d’une pièce pour violoncelle seul commandée par les Ateliers du Violoncelle qui sera créée le 15 mars à l’Atelier du Plateau.
Adèle est lauréate de la bourse Marion Bourgine (2017) décernée par le stage de jazz in Marciac et Talent de l’Académie Villecroze (2018)
OSCAR VIRET Oscar Viret est un jeune trompettiste français né le 7 février 2002. Issu d’une famille de musiciens, il débute la trompette à l’âge de 7 ans et apprend beaucoup auprès de son père, contrebassiste de jazz. Il étudie la musique classique avec Eric Aubier et Brice Pichard au conservatoire de Montreuil et s’investit pleinement dans le jazz à l’âge de 15 ans. Il reçoit l’enseignement de Fabien Mary, Stéphane Payen, Romain Clerc-Renaud et intègre la classe de jazz du CNSM de Paris en 2021. Oscar est un musicien curieux et éclectique qui accorde beaucoup d’importance à la mélodie, à l’image de ses influences principales, Roy Hargrove, Amir ElSaffar… Depuis 2021, il a eu la chance d’intégrer le programme d’échange inter culturel Medinea, sous la direction de Fabrizio Cassol. Dès lors, son approche de l’improvisation s’est singulièrement enrichie au contact de multiples influences méditerranéennes. Parallèlement à ses études, il se produit régulièrement en sideman ou en soliste dans les différents clubs de jazz parisiens et s’investit dans les formations suivantes: TriumViret, Tamino Edener Sextet, Adèle Viret Quartet.
Hommage savoureux aux monstres sacrés du jazz que sont Lionel Hampton et Illinois Jacquet par leurs plus illustres héritiers spirituels, ce concert réunit Dany Doriz, le grand vibraphoniste, patron mythique du Caveau de la Huchette, et Michel Pastre, le sax-hero du swing international. Cette formation est également une affaire de famille. Ces deux compères de longue date sont accompagnés par leurs fils, les incontournables Didier Dorise (batterie) et César Pastre (orgue Hammond ). Une musique dans laquelle se mélange liens d’estime et liens de sang, paternités spirituelles et réelles, transmission et complicité.
Samedi 14 janvier 2023 à 20h30 Lieu : Salle Maurice Thorez Renseignements / Réservations :05 59 64 34 45 Tarifs : Entrée générale 12€ / Réduit 9€ / Gratuit -12 ans