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25/11/2023 – Biarritz – Les Oracles du Phono

Ce sextet dirigé par le saxophoniste Nicolas Fourgeux, prêche le retour du phonographe et du jazz des années 20-30 qui continue de faire vibrer par son éternelle fraîcheur. En effet, ils reprennent des morceaux des toutes premières grandes formations américaines (constituées de onze à vingt musiciens) qu’ils font sonner à 6 avec leurs propres arrangements.
Six prodigieux musiciens, amoureux de cette musique, vous proposent donc de revisiter un répertoire insubmersible avec une énergie et un swing jubilatoires.
Vous allez adorer ce jazz rétro qui met la banane… Et Dieu sait qu’on en a besoin en ce moment…

Nous vous attendons très nombreux pour partager ce grand moment. Réservez au plus vite au 06 61 54 33 55
Prix de la soirée : 61€

Jazz & CO 64

JAZZ & CO 64
Association dans le 64, ouverte à tous, qui a pour mission la promotion de la musique vivante, notamment dans le domaine du jazz, de ses composantes et de ses dérivés, afin qu’un large public puisse découvrir, écouter et apprécier cette musique et afin d’offrir aux musiciens des opportunités de se produire et vivre de leur art ».

19 Novembre 2023 – Fluffy Fox Trio au Rencontres PAU JAZZ

C’est avec grand plaisir que nous retrouverons dimanche 19 novembre à 17 heures le pianiste Etienne MANCHON au sein du FLUFFY FOX TRIO.
Nous l’avions déjà reçu début 2019 aux Rencontres Pau Jazz, il nous avait impressionné. Il est désormais sur le devant de la scène Jazz en France . Au Rencontres PAU JAZZ il nous présentera un hommage à Bill Evans
Etienne MANCHON (piano) sera accompagné de :
George STOREY(contrebasse) et
Malo EVRARD (batterie).

Etienne MANCHON
Né à Nancy en 1995, Etienne Manchon est un jeune pianiste évoluant dorénavant entre Toulouse et Paris. Passionné par le jazz et les musiques actuelles depuis l’adolescence, il a, à l’âge de 27 ans, plus de 500 concerts à son actif, en tant que leader et sideman dans de nombreux styles différents. Fort de ces expériences, Etienne construit un univers artistique unique, où s’entremêlent rock progressif, musique expérimentale, musique savante du XXème siècle et une solide base de jazz.
Influencé fortement par Pink Floyd qu’il a découvert à l’âge de quinze ans, il est également inspiré par l’incroyable pianiste et claviériste Jozef Dumoulin, ainsi que par la bouillonnante scène new-yorkaise (Ben Wendel, Mark Guiliana, Taylor Eigsti). Explorant le rythme comme principal terrain de jeu, Etienne développe en parallèle un sens aiguisé de la mélodie tout en portant une attention particulière au traitement du son.
Depuis 2016, c’est sous la forme d’un trio piano-contrebasse-batterie qu’il défend ses compositions, tantôt intimistes et retenues, tantôt grandiloquentes, cependant toujours défendues avec humour – non sans sérieux.
Son premier album en trio, Elastic Borders sort en 2019, avec Pierre de Bethmann, Pierre Lapprand et Ossian Macary en invités de marque. Ce premier opus est suivi en 2022 par Streets, dans lequel il confirme ses talents de compositeur et continue de sculpter son univers sonore personnel, ce qui lui vaut d’être nommé parmi les 10 musiciens à suivre en 2023 selon Jazz Magazine et Jazz News.
Sa prochaine aventure prend la forme d’un octet explosif : La Pieuvre Irréfutable, avec lequel il sortira son prochain album en septembre 2023.

Il crée en 2020 le duo Congé Spatial avec Pierre Lapprand, lequel connaît un rapide développement qui les conduira à enregistrer un premier album en octobre 2022.
Parallèlement à ses projets en tant que leader, Etienne a été entendu aux côtés d’Yves Rousseau, Jean-Marc Padovani, Alban Darche, Tom Ibarra, Nicolas Gardel, daoud… Il a également agi en tant que directeur artistique pour la chanteuse Amandine Bontemps et le groupe de turbo-jazz Bøl.

À côté de son activité dans le jazz et les musiques actuelles, Etienne accompagne également régulièrement des récitals de musique baroque et classique, notamment le baryton Philippe Estèphe, Aude Extrémo (Palazzetto Bru Zane), le chœur Les Éléments, l’Ensemble Lyra et le chœur Dulci Jubilo.
Etienne est également passionné par l’écriture et l’arrangement pour petites et grandes formations, influencé principalement par des personnalités telles que Kenny Wheeler, Maria Schneider ou Dave Holland. Il a notamment arrangé pour le big band toulousain L’Autre Big Band, le conservatoire de Montauban, ainsi que pour de nombreux projets ponctuels.

Discographie
2015 : EP La Recette – La Recette – distribué chez Cosmonostro
2016 : EP Towards Fulfilment – La Recette – distribué chez Black Milk Music
2017 : EP Infini – GÜZU – autoproduction
2017 : Double EP Originals / Standards at Night – Etienne Manchon Trio – autoproduction
2018 : EP Live Session au Cerisier – Etienne Manchon Trio – autoproduction
2019 : LP Elastic Borders – Etienne Manchon Trio – Label Troisième Face
2020 : EP Grand Forest Express – Etienne Manchon Trio – Label Troisième Face
2020 : LP Fragments – Yves Rousseau Septet – Label Yolk
2021 : LP Monday Morning Riot – Etienne Manchon/George Storey/Pierre Pollet – Label Fluffy Fox
2021 : LP Relief – Amandine Bontemps (en tant que directeur artistique) – Label Anima Nostra
2022 : LP Streets – Etienne Manchon Trio – Label Regarts
2022 : LP Frog’s Performance – Six for Six – Label Anima Nostra
2022 : EP Get Away – Meshaï – autoprodu

LES GRANDS NOMS DU JAZZ (3)

Mister Jelly Roll Morton (1885 – 1941)

L’extravagant Mister Jelly Roll Morton
Le parti pris des chroniques bi-mensuelles « Grands Noms du Jazz » est de publier des portraits de  jazzwomen et de jazzmen dont le nom est supposé être connu du grand public, hors du cercle des jazzfans «premium» (celui des spécialistes pointus et des érudits…).
La chronique de ce jour fait exception car le nom de Jelly Roll Morton, étonnant personnage des tous débuts de l’histoire du jazz, «parle» surtout aux historiens de cette musique. Pourtant, à plus d’un titre, il nous a paru intéressant, d’inclure Ferdinand Joseph Lamothe (son véritable patronyme!) dans notre série d’articles quinzomadaires…
D’origine créole et française (son année de naissance exacte n’est pas connue : 1885 ou 1890?), pianiste brillant, il est très populaire à La Nouvelle-Orléans, au début du XXème siècle, en tant qu’interprète,  virtuose impressionnant, du ragtime. Cette musique syncopée a joué un grand rôle dans la naissance du jazz. Le ragtime est agréable à écouter mais c’est une musique «rigide», assez «figée». Les thèmes de ragtime se jouent à partir de partitions. Ou sont joués à partir de «rouleaux» pour les pianos mécaniques… A la différence du jazz le ragtime ne swingue pas et ne se prête pas aux improvisations… Jelly Roll va faire évoluer le ragtime en le transformant en une musique plus aérée, plus souple. Ouvrant ainsi la voie aux grands pianistes swing des années 30 comme Duke Ellington ou Count Basie.
Dans les innombrables «établissements de plaisir» de New-Orleans des ragtimes, sont joués sur le piano qui trône dans les salons «d’accueil». Ils sont destinés à créer une atmosphère «guillerette», très utile pour faire patienter les clients…
Dans son film, fort choquant, «La petite», Louis Malle, met en scène, longuement, la «mise aux enchères» d’une très jeune fille dans une «maison close» de la capitale de la Louisiane. Malle a dédié ce film à Jelly Roll Morton! Et son personnage est évoqué dans plusieurs scènes…
Jelly Roll ne se contentait pas de jouer dans les bordels, il fut aussi proxénète et fier de l’être.
Tout jeune il est déjà riche et célèbre à Storyville, le fameux quartier des «lanternes rouges» («Red Light Quarter»). Lanternes qui indiquent la porte d’entrée des « maisons de tolérance »…
Flambeur, il joue. Au poker. Beaucoup. Au billard aussi. Aux dés. Il porte des vêtements luxueux. Fréquente les truands. Il se fait incruster un diamant dans une incisive… C’est son hyper activisme sexuel, dont il se glorifie (il se pavane souvent avec deux belles femmes à ses bras!), qui l’a conduit à choisir un pseudonyme assez transparent : «Jelly Roll». Les musiciens afro-américains raffolent du « slang ». Un argot codé où les références salaces abondent. Dans cet argot le «jelly roll» est un « gâteau roulé ». Allusion évidente au sexe masculin!
Pendant de nombreuses années il va être pianiste itinérant. Musicien nomade il sillonne avec succès les Etats Unis… mais garde La Nouvelle-Orléans comme port d’attache. Il joue fréquemment à Chicago (avant même que cette ville ne devienne la capitale du jazz naissant dans les années 20). S’installe pendant 5 ans à Los Angeles où il devient éditeur de partitions. Compositeur prolixe et brillant il gagne beaucoup d’argent avec cette nouvelle activité.
Il fait imprimer des cartes de visite sur lesquelles il s’auto-proclame «inventeur du jazz»!

De 1926 à 1929 c’est l’apogée de sa carrière. Il fonde plusieurs orchestres considérés par les historiens du jazz comme vraiment innovants. Le plus populaire est les « Red Hot Peppers » (les « chauds » piments rouges!). Ses arrangements et compositions, enregistrés par des labels prestigieux, sont d’une grande modernité. Ses disques se vendent bien.
Mais, plus que jamais il est arrogant, désagréable, fanfaron, prétentieux et donneur de leçons. Il se met ainsi à dos le petit monde du jazz naissant.
En 1936, victime de la crise économique, il se retrouve pianiste de bar, dans un établissement fort modeste.

Un musicologue, Alan Lomax, le re-découvre par hasard et enregistre pendant de longues heures, ses incroyables souvenirs. Lomax tire de ces entretiens un livre passionnant.
Morton retrouve en 1939, à un moment où le style « new-orleans » revient à la mode, le chemin des studios d’enregistrements mais cette « renaissance » est de courte durée. Malade il meurt, quasi anonymement, en 1941.
Plusieurs albums publiés sous nom lors de ses périodes flamboyantes sont réédités régulièrement et témoignent de son talent et de son originalité. Certaines de ses compositions sont aujourd’hui encore jouées par de très grands jazzmen. Wynton Marsalis (l’idole de Jazz in Marciac) et Charlie Mingus ont écrit des thèmes qui lui sont dédiés. On trouve sur internet moult témoignages, à découvrir, de ses talents multiformes.

Pierre-Henri Ardonceau

Prochaine chronique: Sidney Bechet.

RENCONTRE DÉBAT AVEC HÉLÈNE DACCORD

Le rôle de la musique dans l’Histoire
Quelle place occupe la musique dans le concert des nations ?
Du sacre de Napoléon en 1804, qui valut à l’empereur l’inimitié à vie du compositeur Beethoven, à la visite de l’Orchestre
Philharmonique de New York en Corée du Nord en pleine crise nucléaire, en passant par les figures symboliques de Verdi et Wagner, ou le concert improvisé de Rostropovitch devant le mur de Berlin en 1989, Hélène Daccord relate avec intelligence et fantaisie ces scènes mémorables où le fracas des armes a laissé place à l’harmonie des instruments

Samedi 14 Octobre 2023 – 16 heures
Au PARVIS – Centre Leclerc – PAU
Réservations

Concerts à Venir

Février

Mercredi 26 Février 2025 – 19 h00 – Pau – Au Durango Café
JAZZTET & Mad – (Durango Café)

Vendredi 28 février 2025  20h30 – Pau, Cinéma le Meliès (Foirail)
Hugues Mayot L’arbre rouge – Invocations (Tonnerre de Jazz)

Mars

Du 12 au 15 Mars 2025 – Festival de Jazz à TARNOS
Avec Monty ALEXANDER et bien d’autres

Samedi 15 Mars 2025 – 20 h00 – Pau – La Belle Epoque
Jacky BERECOCHEA Quartet

Samedi 22 mars 2025 – 18h 00 – BIARRITZ (Casino, salon Diane)
Robert GERVASI Trio invite Patrick BARTLEY

Du 25 au 29 Mars 2025 – SOUTH TOWN FESTIVAL à Soustons (Landes)
Avec Nicolas GARDEL et bien d’autres

Samedi 29 Mars 2025  20h30 – GAN (Maison pour tous)
« Blues basics », avec Arnaud Fradin Roots Combo (Jazz & Co)

Avril

Vendredi 04 Avril 2025  20h30 –  JURANÇON, L’Atelier du Neez
Charlotte Planchou et André Minvielle – Ya de l’Oc dans le Jazz (Tonnerre de Jazz)

Samedi 05 Avril 2025  20h30 –  JURANÇON, L’Atelier du Neez
11ème tremplin Tonnerre de Jazz (Tonnerre de Jazz)

Dimanche 13 Avril 2025 – 18 h00 – Pau JAZZ – Morlaas
Pablo CAMPOS Trio – (Rencontres Pau JAZZ)

Mai

Vendredi 02 Mai 2025  20h30 –  PAU, Espaces Pluriels – Théâtre
Free Human Zoo – L’île mystérieuse (Tonnerre de Jazz)

Samedi 10 Mai 2025 – 20 h00 – Pau – La Belle Epoque
Gladys Amoros & Michel FOIZON Quartet

Juin

Vendredi 06 juin 2025 20h 30: –  JURANÇON, L’Atelier du Neez
Kevin Doublé Quartet, (Jazz & Co)

Samedi 14 Juin 2025  20h30 –  JURANÇON, L’Atelier du Neez
Mohamed Abozekry – Roh El Fouad – Âme de cœur (Tonnerre de Jazz)

JAZZ à PAU

Vendredi 21 Mars 2025 – 20 heures – le Foirail – PAU
Samedi 22 Mars 2025 – 20 heures – le Foirail – PAU
CHUCHO VALDES ROYAL 4TET

Vendredi 11 Avril 2025 – 20 heures – le Foirail – PAU
Samedi 12 Avril 2025 – 20 heures – le Foirail – PAU
JOHN SCOFIELD TRIO

Mardi 29 Avril 2025 – 20 heures – Au ZENITH de PAU
1ère Partie : MISS BEE & THE BULLFROGS
2ème Partie : THOMAS DUTRONC

Vendredi 23 Mai 2025 – 20 heures – le Foirail – PAU
Samedi 24 Mai 2025 – 20 heures – le Foirail – PAU
KAREEN GUIOCK THURAM « NINA »

JAZZ in MARCIAC – du 21 juillet au 07 aout 2025

PROGRAMME

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LES GRANDS NOMS DU JAZZ (2)

LOUIS ARMSTRONG (1901/1971)

Louis Armstrong (père du jazz, star mondiale) est né à la Nouvelle-Orleans, dans une famille pauvre et désunie. Tout jeune, laissé à lui même, il exerce avec débrouillardise beaucoup de petits boulots. Il chante dans les rues. A onze ans après avoir tiré en l’air, une pratique courante lors des soirées festives du nouvel an, il est envoyé dans un foyer pour enfants de couleur abandonnés. Pauvre et black… double malédiction au début du 20ème siècle dans les états du sud des Etats Unis où règne la ségrégation raciale. Mais ce qui aurait pu être une malédiction pour le jeune Louis va se révéler une chance. Car dans la maison d’éducation où il est pensionnaire il apprend à jouer du cornet. Il se révèle très doué sur cet instrument. Plus tard il optera pour la trompette. Dès sa sortie il joue dans les fanfares, dans les bals, dans les cabarets de Storyville (le quartier « chaud » de la Nouvelle Orleans) et il est recruté dans les orchestres des luxueux bateaux à aubes qui remontent le Mississippi. King Oliver star de la trompette dans la capitale de la Louisiane le prend sous son aile.
La fermeture du quartier des plaisirs en 1917 a entrainé l’exode de nombreux musiciens vers Chicago (où les gangsters accueillent à bras ouverts les jazzmen dans leurs luxueux cabarets). King Oliver installé à Chicago depuis quelques années y triomphe avec son « Creole Jazz Band ». Il demande à Armstrong de le rejoindre au début des années 20 et l’intègre dans son orchestre comme deuxième cuivre. Louis s’y révèle très vite brillant et il devient l’attraction du groupe. Il épouse la pianiste de l’orchestre Lil Hardin. Issue de la bourgeoisie noire, Lil est très cultivée. Lorsque Louis est arrivé à Chicago elle l’a trouvé un peu plouc! Elle va le métamorphoser: changement de look, régime amincissant. C’est elle qui va diriger et booster sa carrière pendant quelques années. Elle impulse la création de deux orchestres mythiques dont Louis est la vedette: Les Hot Five et les Hot Seven où Armstrong est mis en valeur. Après la maison d’éducation… Lil fut la deuxième grande chance d’Armstrong.
Il devient aussi tête d’affiche  dans les clubs new-yorkais, en multipliant les aller/retours NY/Chicago. Au milieu des années 20 son jeu de trompette devient impressionnant: puissant, original.
En 1927 son solo sur le thème West End Blues est considéré comme un chef d’oeuvre absolu. Pour les historiens du jazz il signe là les véritables débuts du jazz. Pour Maurice André, le très grand trompettiste classique, ce morceau est un « monument » incontournable de la trompette, tous genres confondus. Beaucoup de trompettistes l’ont appris par cœur en tentant de le jouer à la note près.
Entre 1923 et 1930 il participe à plus de 300 enregistrements et tourne beaucoup aux USA. L’ Europe commence aussi à s’intéresser à lui. Le célèbre imprésario français Jacques Canetti, grand découvreur de talents, l’invite à Paris en 1934 et lui trouve de très nombreux engagements. Mais le jeu d’Armstrong, tout en puissance et générosité, abîme gravement ses lèvres, qui saignent après les concerts. Il demande à Canetti d’alléger le nombre de ses prestations. Face au refus de celui-ci, il rompt son contrat et rentre aux USA. Après une période de repos sa carrière repart de plus belle.
Acteur dans des « soundies » (ancêtres des scopitones) et dans de nombreux films, il multiplie aussi, à nouveau, enregistrements et concerts.
Il devient populaire bien au delà du cercle des jazzfans.
Dans les années 50 il forme un sextet qui joue dans le style New Orleans qu’il « revisite ». Ce sextet tourne dans le monde entier. Il devient « ambassadeur » culturel des USA.
Il chante souvent en « scat » : brillantes et surprenantes improvisations vocales à partir d’onomatopées. Sa manière de métamorphoser et de magnifier des chansonnettes a beaucoup contribué à sa célébrité auprès des publics populaires, comme pour C’est si bon ou La vie en rose. Sa version d’Hello Dolly fut un tube mondial.
Sympathique, toujours souriant, drôle. Son humour est souvent surprenant. Lors d’une rencontre avec le pape Paul VI, qui lui demandait s’il avait des enfants, il répondit « Non et pourtant avec mon épouse on s’entraîne tous les soirs ! ».
L. Armstrong est mort à 69 ans. Il a donné des concerts pratiquement jusqu’à la fin de sa vie.

PS:Sur internet de nombreux fichiers audios et vidéos d’Armstrong sont à visionner ou à écouter. Un régal!

PH Ardonceau

06/10/2023 – Capbreton _PH. CHANGE, CÉLIA MARISSAL ET LE SWINGIN’BAYONNE

Rappel : Tarif normal : 20 € – Jeunes de 12 à 18 ans : 10 € – gratuit pour les moins de 12 ans
Accueil à partir de 20h00 – début du concert 21h – Placement libre

Nous vous rappelons  que vous avez la possibilité d’acheter vos billets à l’avance en cliquant sur le lien suivant  : https://www.helloasso.com/associations/jazz-partner-s/ et de vous laisser guider jusqu’à la validation du paiement et l’impression du billet ou le téléchargement sur votre téléphone. 
Vous n’aurez plus à attendre à l’accueil à l’entrée de la salle et vous pourrez aller directement vous installer, après avoir présenté votre billet.

Sinon, le paiement des billets se fera à l’accueil de la salle, le soir du concert. Pour garantir la fluidité de notre accueil, si vous souhaitez régler par chèque, nous vous invitons à le libeller par avance à l’ordre de Jazz Partner’s. Nous souhaitons limiter le paiement en espèces, même si nous l’acceptons, par souci de sécurité, mais nous n’acceptons pas les cartes bancaires.
Pour celles et ceux qui souhaitent adhérer à notre association : Adhésion 2023 : 20 € –  Elle marque votre engagement à nos côtés pour soutenir le monde de la culture, ses artistes et techniciens.

Si des amis souhaitent se joindre à vous, merci de nous indiquer par mail leurs nom et prénom.
A l’issue du concert, une rencontre est prévue à la Salle Océane (à l’étage)  pour échanger avec les musiciens et vous désaltérer, si vous le souhaitez, à la buvette prévue à cet effet.

Au plaisir de vous y accueillir,

Chaleureusement
Blandine

Association JAZZ PARTNER’S
5, avenue Bizet
40130 CAPBRETON
06 88 87 13 00
jazz.partners40130@gmail.com